4 Mon cœur s'échauffa au-dedans de moi ; De ma méditation jaillit un feu, Et la parole vint sur ma langue...
5 Eternel ! fais-moi connaître ma fin Et quelle est la mesure de mes jours. Que je sache combien je suis fragile !
6 Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma durée est comme néant devant toi ; Oui, tout homme, si bien affermi qu'il soit, n'est qu'un souffle. (Jeu d'instruments.)